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C'est comme vous voulez, Alain Souchon 1985

Publié le 24 avril 2023, par Charles-Erik Labadille

L’album C’est comme vous voulez

Connaissant le côté facétieux, frondeur du sieur Souchon, on se doute que derrière ce titre docile d’album et de chanson se cache bien au contraire un rien de second degré et donc d’insubordination ! Donc c’est comme vous voulez ? Eh bien non, on ne pense pas que ce soit comme vous voulez ! Mais attention ! Ce « vous », ce n’est pas vous, c’est lui, le grand sac des extrémismes et des violences. Alors, même si mystifier son prochain ce n’est pas très joli joli, duper les combinards, les profiteurs, les illuminés, les dictateurs…, ça peut avoir un sens auquel nous adhérons sans réserve.  L’homme (monsieur Souchon) va donc continuer à suivre ses chemins de traverses, faits d’ironie, de clins d’œil mais aussi de tristes réalités et de sombres confessions… Dans ce 7ème album, sorti en 1985 et pour la première fois sous le label Virgin, il y a donc notre dose d’humour, d’autodérision, de rébellion, d’illusions perdues mais aussi de sensibilité, de rêves et même de réconfort.

Il y a également beaucoup de synthétiseurs, la maladie de l’époque, qui « datent » quelque peu les enregistrements et nuisent parfois à la finesse du propos (comme dans « La vie intime est maritime »…). On les doit certainement au nouvel arrangeur, Michel Cœuriot qui d’ailleurs signe également cette musique. Néanmoins, si on apprécie la musique funky, les sons cosy des Fender stratocaster, les basses qui slappent et les grosses caisses qui plantent des rangées de clous, bref si on est nostalgique du gros son des années 80, tout synthés dehors, on peut apprécier cette musique propre mais qui reste tout de même un peu froide.

Si Louis Chédid est toujours fidèle au poste (pour deux musiques), Michel Jonasz a définitivement quitté le navire. Quant à Laurent Voulzy, qui vient de finir l’édition gagnante de la transat Désir Désir et, cette année-là (1985), ne participe qu’à une seule autre course, Belle-Île-en-Mer Marie Galante, il reprend la barre pour emporter la moitié de l’album vers ses continents personnels où seules les guitares et les mélodies ont droit de mouillage.

Scène de Faust par Gustave Doré

Faust (Alain Souchon, Laurent Voulzy)

Faust, Dong Dong ! sonne le glas de couplets trop répétitifs, mais décolle avec son refrain aérien, comme l’âme du chanteur vendue jadis à Méphisto contre quelques airs de musique pour dissiper ses frayeurs d’enfant. Mais, même si l’artiste est devenu une étoile, un symbole, tout cela n’est qu’illusion car, comme il le dit lui-même, « Les imag’ c’est connu n’ont pas d’âme ».

 « Allez, chant’ fort   Ton chagrin sonor’   Jusqu’à c’que ton cœur devienn’ un bloc d’or
Allez chant’ fort   Mets l’dedans dehors   Chant’ encor’ jusqu’à c’que t’es mort »

On le voit, Alain Souchon a l’art de mêler les contes les plus intellectuels, les plus complexes avec les mots les plus familiers : « Chant’ encor’ jusqu’à c’que t’es mort… », où le parlé populaire, la formule coup de poing prend le pas sur le bon français de France.

Les jours sans moi (Alain Souchon, Laurent Voulzy)

Bon, à vrai dire, on se serait bien passé de ce rock particulièrement répétitif, de surcroît certainement pompé sur un standard rabâché (« On the road again » ?), de cette petite voix perchée (falsetto) justement à la Canned Heat pour faire female, et de cette autodérision facile sur l’apparence de la personne publique, thème qui d’ailleurs sera repris en mieux dans « J’veux du cuir ».

  « Hou hou hou Y a des jours avec   Hou y a des jours avec Et des jours sans moi »

Mais peut-être que vous, vous appréciez, alors pas de problème… Mais nous, si on était un peu méchants, ce qui bien sûr n’est pas le cas, on se permettrait bien de dire que c’est un jour sans…

L'odyssée des Müller, 1949, par OuestFrance

La vie intime est maritime (Alain Souchon Michel Coeuriot)

Comme nous l’avons dit précédemment, « La vie intime est maritime », encombrée par tous ces lourds synthés, aurait certainement bien mieux appareillé en bénéficiant d’arrangements plus aériens. Pour s’en persuader, il suffit par exemple d’écouter, sur une thématique voisine, Breezin’ de George Benson ou, sans aller chercher si loin, la chanson suivante, Portbail où juste un piano et quelques violons et synthés discrets habillent à merveille les paroles magnifiques. Il n’empêche que « La vie intime » reste une bonne chanson, ne serait-ce que pour sa mélodie bien identifiable et ses paroles porteuses d’idéal. L’allégorie choisie ici pour véhiculer le discours est celle du bateau, synonyme d’évasion, de voyage, de rêve et donc support de la personnalité profonde qui, malgré les contraintes, arrive toujours à s’exprimer. Dans la chanson, Alain Souchon défend tout autant ces rêveurs manipulés qu’il s’en prend aux gardiens de l’immobilisme et du conservatisme.

 « Organisateur de nos vies comm’   Tu veux qu’on soit des bêt’ de somm’
Des Shaddocks à pomp’   Tu sais tu t’tromp’ »

 « Vous pouvez fair’ voter mécaniqu’   Tous ces gens qu’ont des airs apathiqu’
Mais pas l’attraper   L’bateau qu’ils ont dans la têt’ caché »

Portbail (Alain Souchon)

C’est une chanson merveilleuse avec une mélodie particulièrement sophistiquée qui vous entraîne dans des dédales harmoniques sans vraiment jamais savoir sur quel accord danser, ou se poser… Quant aux paroles, elles oscillent entre l’amour et l’espoir de jours meilleurs exhaussés par une nature sauvage et belle, et une sorte de résignation fataliste faite de l’acceptation d’une vie formatée et de l’enfermement dans sa propre condition.

 « Je sais qu’tu sais   Qu’on n’ira sûr’ment jamais   Que les vagu’ les land’
C’est des lampions des guirland’   Qu’on rest’ toujours   Vissé à quelqu’ chos’ de lourd »

 « J’aurais mis des p’tits brins d’bruyèr’ sur ton cœur  

Toi qui trouv’ que pour un garçon   J’aim’ trop les fleurs »

Charlie Chaplin dans "Les temps modernes" par AlloCiné

Pays industriels (Alain Souchon, Louis Chédid)

Bravo monsieur Chédid pour ce gros son, basse-batterie d’enfer qui, avec ses bruits de métal, de percussions, d’emboutissage… nous rappelle Les temps modernes de Charlie Chaplin ! Bravo monsieur Souchon plein de subtilité qui, plutôt que de « casser » directement de l’industriel, avoue à ses enfants que sa génération a été trop veule et leur conseille de se rebeller ou, tout du moins, de s’éloigner des pouponnières capitalistes.

« Baby de nous tu ris des biell’   Des pistons mous des vil’brequins qui chancell’
Tu trouv’ que c’est un’ musiqu’ malsain’   Ces sifflets d’contremaîtr’ ces sirèn’ »

« Baby de nous cass’ tout   Baby de nous, fais pas comm’ ton daddy mou
Va fair’ joujou   Baby de nous   Loin des pays industriels »

Pourquoi tu t’prépares Alain Souchon

Pourquoi qu’tu t’prépares (à sortir ou à partir ?) est un petit intermède de cinquante seconde pour chanter une fois encore la désillusion amoureuse, un petit air piano-voix maintenant bien connu, dans le genre de « Petit » ou de « La p’tit’ Bill ell’ est malade ».

« Au premier baiser sur la plag’   On ramassait des coquillag’
Je t’aim’ pour la vie   Et ell’ est partie »

« Sur un’ baguett’ de verr’ rigid’   La vie l’amour rien n’est solid’
Pourquoi tu t’prépar’   Est-ce que tu sors ce soir ? »

J’veux du cuir (Alain Souchon, David McNeil, Laurent Voulzy)

On change de son avec « J’veux du cuir », gros funk, Fender Rhodes, Stratocaster compressée, basse slapée et même solo de sax (Patrick Bourgoin) à la Grover Washington (très en vogue à l’époque). On change de ton avec « J’veux du cuir » qui, comme son nom l’indique, ne fait pas dans la dentelle :

 « J’veux du cuir, pas du peep show du vécu    J’veux des gros seins des gros culs ah, ah… »

 Mais, bien entendu, il faut prendre un peu de recul et du second degré car le chanteur qui feint de vouloir changer d’image médiatique, ajoute aussitôt, comme pour tromper une nouvelle fois l’ennemi et le laisser dans l’embarras :

 « Mais si j’dis ça je cass’ mon imag’    Ce s’rait dommag’ d’êtr’ au chômag’ à mon âg’ »

L'Union Européenne par TouteLEurope

Vous êtes lents (Alain Souchon Louis Chédid)

No comment particulier sur cette petite fantaisie musicale, cet intermède répétitif pour finir l’album, et fédératif qui ne trouvera sa conclusion que huit années plus tard avec le traité de Maastricht fondateur de l’Union Européenne.

« Vous êt’ lents lents lents   Dans vos vieill’ godass’
Il serait temps temps temps   Que l’Europ’ se fass’ »

La ballade de Jim, Alain Souchon, Laurent Voulzy, 1985, tonalité MIb majeur

"Là-bas le soleil s'écroule dans la mer..."

James Dean par Gala

Coucher de soleil dans la mer par L’Ouest républicain

Avec la chanson « C’est comme vous voulez » qui donne son nom à l’album éponyme, « La ballade de Jim » est certainement le titre qui est resté dans toutes les oreilles.

Alain Souchon y présente « une tranche de vie », celle d’un anonyme, comme il l’a déjà fait dans « Somerset Maugham » ou le fera dans « Une héroïne » de Voulzy. Plus que le personnage en lui-même, c’est donc l’habit qu’il porte, la thématique très générale qu’il véhicule qui importent. Avec Somerset, il s’agissait du séducteur que le mari ou le compagnon redoutent ; avec une héroïne, l’auteur met en scène une employée gentille et ordinaire habitée par les rêves que tout le monde partage ; avec Jim, c’est sur les thèmes de l’accident et du suicide qu’il va se pencher. Peut-être, peut-on y trouver une allusion à deux vies et « deux faits divers ». D’abord, celle de James Dean (James, Jim…) auquel on ne peut s’empêcher de penser tant les histoires sont proches ; en 1955, l’acteur rendu célèbre par le film La fureur de vivre se tue à 24 ans (!) au volant de sa Porsche ; l’accident, plutôt banal (refus de priorité), transformera la star hollywoodienne en mythe… La chanson peut aussi faire songer à une affaire plus intime pour Alain : la mort de son père Pierre Souchon en 1959, dans un accident de voiture également vécu par l’adolescent de 14 ans…

Grace Kelly et Cary Grant sur la Corniche dans "La main au collet" d'Alfred Hitchcock, 1954

Dans la chanson, Alain Souchon toujours un peu mélancolique, transformera l’accident en suicide en suivant une trame très simple : Jim, sa Chrysler, une rupture amoureuse, la corniche, les graviers et le virage manqué, volontairement, involontairement ?… Mais Souchon a la mélancolie souriante. Jim s’en sort, l’hôpital arrive et « chute » sinon immorale, du moins inattendue :

« L’infirmièr’ est un ang’ et ses yeux sont verts Comm’ ell’ lui sourit attention Jimmy veut lui plair’ ».

On peut également voir dans ce happy end une sorte de message : qu’importe les épreuves, nous avons, vissée au corps, la force de nous remettre debout.

La ballade de Jim, Alain Souchon et Laurent Voulzy, 1985, extrait

Il est clair que la mélodie composée par Laurent Voulzy va permettre de graver durablement cette chanson dans la tête des auditeurs qui ne vont pas tarder à la plébisciter. La recette est toujours la même : un petit air folk-pop, un rythme entraînant, 4 accords de la gamme de Mib majeur (2 majeurs, 2 mineurs)… Mais pour que la mayo prenne, il faut un certain tour de main…

À la guitare, le plus simple est de jouer le morceau en RÉ majeur avec un capo à la première case. Les accords du couplet (par ordre d’apparition) sont alors : RÉ (I), SIm (VIm), SOL (IV) et LA (V) ; ceux du refrain : SOL, LA, SIm…

.

Bé bé j'suivrai...

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C’est comme vous voulez, Alain Souchon, Laurent Voulzy, 1985, tonalité MIb

Transhumance par La Dépêche

Voilà la chanson ironique type. Il faut donc tout prendre au second degré, je vous dis blanc, il faut comprendre noir, c’est comme lorsqu’on s’exclame :  » Eh ben dis donc, il fait beau ! », alors qu’il pleut des cordes… Donc, au premier degré, Souchon informe son monde qu’il est comme les autres et qu’il ne fera pas de vagues : c’est un chanteur sans opinion, il n’a pas d’honneur, il est dans toutes les combines, il suit les consignes, sans réfléchir bien sûr, vous lui dites de faire ça, il le f’ra, « mouton, mouton », il vous suivra, il f’ra tout « comm’ vous voulez » !

C’est comme vous voulez, Alain Souchon, Laurent Voulzy 1985, extrait

Pearl Harbour, photos Sudouest et National ww2 museum

Au second degré, il faut évidemment prendre tout à l’inverse et la formule rhétorique permet, sous des airs de « ne pas y toucher », de ne pas s’engager, de montrer tout le « cracra » (comme dans « On s’aime pas ») de ce monde merveilleux : valse-hésitation et folie de la guerre d’Indochine, décennies de guerres ininterrompues en Afghanistan, ghettos, sectes, mouvements politiques extrêmes… En définitive, cette chanson toute à « contre-sens » est un hommage rendu à ceux qui savent dire non, qui suivent leurs idées et s’engagent personnellement.

Kaboul par Areion24 news

Côté musique, bien entendu, ça « bastonne » fort pour accompagner cette fausse propagande qui, comme toutes les persuasions, comme tous les matraquages, est un peu hard ! Caisse claire « pilonnante » digne d’un artisan-couvreur ; quasiment un seul accord dans le morceau, un MIb (juste un petit LAb et un petit SIb dans le refrain) pour faire un rock lourd (I IV V) qui rime avec « Pearl Harbour » ! Pour les apprentis forgerons, ils pourront jouer le morceau plus facilement, par exemple avec un capo à la sixième case et en jouant un accord de LA (I) derrière, et ajouter Ré (IV) et Mi (V) sur le refrain, ils seront bien en MIb majeur, comme sur le CD…

Le Ku Klux Klan par National Geographic

K K K... Je suivrai ?

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